Mon parcours

      Je suis née à Lyon en 1994. Comme beaucoup d’enfants de ma génération, je m’intéresse aux mangas et aux animes (Sailor Moon, Maison Ikkoku, Fullmetal Alchemist, Card Captor Sakura, Love Hina…) à la pop culture (South Park, les Simpson, des séries comme Friends, Une nounou d’enfer, Notre belle famille, Malcolm…).

Mais je suis aussi passionnée par l’espace, l’Égypte antique, la mythologie en général, et les dinosaures. Les sciences me plaisent, en particulier la physique, même si je n’aime pas vraiment les maths. Pourtant, le français et l’art me plaisent aussi, voire plus. C’est ainsi que je préfère me diriger vers un bac littéraire.

Ainsi, après avoir obtenu mon bac L en 2013, j’entre en double Licence LLCE-Espagnol / Anthropologie. Après une première année, je stoppe la LLCE pour me consacrer uniquement à l’Anthropologie.

À partir de la troisième année de Licence, en 2015, je commence à travailler en parallèle de mes études comme commerciale sédentaire à mi-temps pour le groupe de télésurveillance Verisure.

Après l’obtention de ma licence en 2016, j’entame mon Master 1 en me spécialisant sur l’anthropologie du fait religieux, de l’art et des cultures matérielles et de la communication.

En 2017, j’entame mon Master 2 en Ethnologie des Mondes Contemporains.

En 2018, je soutiens mon mémoire de recherche sur L’objet comme souvenir, notamment dans le cadre de la pratique du tourisme.

Cette année est divisée entre mes heures de travail chez Verisure, mes cours, mes recherches, la rédaction de mon mémoire, et mon stage de fin d’études en tant que consultante au Petit musée de Guignol, dans le Vieux-Lyon. Je travaille alors aux côtés du dernier artisan lyonnais à encore fabriquer la marionnette comme le faisait Laurent Mourguet de son temps. Soit, dans le Vieux-Lyon, entièrement à la main, à partir de bois de tilleul du Jura.

Je me consacre alors à la restitution de ce savoir-faire, que j’inclus alors dans ma recherche comme un exemple d’objet dit “authentique” et unique, en opposition à la “babiole” produite en série qu’induit la pratique du tourisme de masse.

Après l’obtention de mon Master 2, je continue pendant un an de travailler pour Verisure comme commerciale, cherchant en parallèle un poste comme consultante ou médiatrice culturelle dans un musée. En vain. L’offre sur Lyon est bien plus limitée sur ce types de postes que dans des villes comme Paris ou Londres.

Continuant mes recherches, je travaille un an comme commerciale terrain, auprès des Éditions Municipales de France, un éditeur spécialisé dans la communication institutionnelle, notamment auprès des mairies et des communautés de commune.

Après cela, en 2020 je commence à travailler comme responsable d’agence dans un groupe d’auto-école, Conduite Center, avant d’être promue assistante de direction générale l’année suivante. Je m’occupe alors du management des chargés de clientèle des autres agences de France, de la préparation comptable, de la direction des entretiens, et du suivi du chiffre d’affaire et des dépenses, tout en assurant l’accueil et le suivi pédagogique de l’agence dont je suis responsable.

En 2024 je cesse de travailler pour Conduite Center et me consacre pleinement à l’Antrhopologie. J’ai depuis écrit quelques articles, notamment un sur une relecture moderne du Prince de Machiavel, et une analyse contemporaine de la figure idéale du dirigeant politique.

Mais je me suis surtout consacré à l’écriture d’un ouvrage sur l’opération Mural du Mossad au Maroc, les yaouled, et la première génération d’enfants immigrés en Israël après la déclaration d’indépendance de l’État hébreu en 1948. J’y explique entre autres par quels biais le pays a su se développer aussi rapidement, notamment en matière d’agriculture.